LIVE from Thailand |
20/10/2001
Le soleil est revenu et tot le matin déjà,
il chauffe Koh Samui. J'en ai profité pour faire quelques photos
supplémentaire sur la plage. Puis un petit plouf dans la piscine avant d'aller
prendre l'avion pour Pattaya. L'aéroport de Koh Samui est tout ouvert. Les bâtiments
c'est des huttes de bois et de feuilles de palmiers. C'est vraiment superbe et
inattendu pour un aéroport.Au décollage c'était super, car on a survolé une partie de l'ile et de la plage de Chaweng. Puis on est passé sur Koh Pa Nang un peu plus au nord. A l'aéroport de Pattaya il y avait une navette bus jusqu'à Pattaya, heureusement, car il y a plus de trente kilomètres. A l'hôtel j'étais attendu, car May avait déjà reserve les chambres et avait prévenue de mon arrivée en milieu de journée. Après avoir déposé mes affaires je suis allé faire un tour de la ville. Pattaya, une grosse station balnéaire pour touristes occidentaux. La plage n'est pas très belle. Les gens ne se couchent pas sur le sable, mais que sur des chaises longues sous des parasols. Puis il y a plein de bateaux et de jet-skis qui viennent accoster directement sur la plage a travers les baigneurs. Bonjour la sécurité et la tranquillité.. Dans la rue, les boutiques pour touristes sont séparées par les salons de massages et les bars ouverts sur la rue. Un truc de choquant c'est tous ces occidentaux de 50-70 ans (des hommes uniquement) qui se promènent aux bras d'une thaï de 20-30 ans ou qui sont seul ou en groupe. On sait tres bien pourquoi ils sont, le tourisme sexuel. De retour a l'hôtel, May vient d'arriver avec son amie Ann. On se changent et on va dîner dans un restaurant thaï à South Pattaya, quelques kilomètres plus au sud. La on est de nouveau en Thaïlande. Il n'y a pas de blancs et il parait que les plages sont beaucoup plus calmes et jolies. Puis on a fait un tour dans Pattaya, mais il n'y avait pas trop de monde. Les touristes en groupes étaient là. On a bu quelques verres dans un pub ou il y avait un groupe de musique très sympa. I will translate an other time, sorry. |
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